Les conseils de Frédéric Dubois, dirigeant fondateur de Forgacom qui accompagne PME et TPE dans leur gestion de performance.
1) Anticiper vos demandes à votre banquier car les banques ont des contraintes de plus en plus fortes en termes de crédit. En 2010, l’accord Bâle III a été signé en réaction à la crise financière de 2007. Pour éviter que les banques se retrouvent en défaut de liquidité, il leur a été imposé d’avoir pratiquement autant de dépôts que de crédits accordés. En conséquence, l’accès au prêt s’est encore resserré, et notamment pour les petites entreprises dont la solidité financière n’est pas toujours assurée. De plus, les systèmes de décision sont longs, les commissions d’obtention de crédit étant hebdomadaires. Il faut donc essayer d’anticiper au maximum ses demandes de crédit et entretenir une transparence totale avec son banquier. Il sera ainsi partie prenante dans une vision plus stratégique de la gestion de l’entreprise.
2) Développer ses relations avec son banquier
Pourquoi ne pas inviter son banquier à visiter ses locaux ? Ce n’est pas dans les mœurs mais c’est tout à fait possible : il est essentiel qu’il ait une bonne connaissance de votre activité pour cerner au mieux vos besoins. Managez votre relation bancaire comme vous le feriez avec vos collègues et clients, car au même titre que ces derniers, votre banquier est un acteur de votre réussite. Ne négligez donc pas les efforts pour entretenir un climat de confiance réciproque.
Pourquoi ne pas inviter son banquier à visiter ses locaux ? Ce n’est pas dans les mœurs mais c’est tout à fait possible : il est essentiel qu’il ait une bonne connaissance de votre activité pour cerner au mieux vos besoins. Managez votre relation bancaire comme vous le feriez avec vos collègues et clients, car au même titre que ces derniers, votre banquier est un acteur de votre réussite. Ne négligez donc pas les efforts pour entretenir un climat de confiance réciproque.
3) Savoir s’entourer pour rassurer son banquier
Il faut que votre banquier sache que vous maîtrisez la situation. Ce n’est pas toujours facile, d’autant plus qu’on demande aujourd’hui à un chef d’entreprise d’être un athlète complet, on veut qu’il sache tout faire, or ce n’est pas possible. Pour une grande majorité d’entre eux, les dirigeants de PME et de TPE sont des commerciaux ou des techniciens, ils n’ont pas une grande culture financière, ni de la gestion. En revanche, il est possible de bien s’entourer, et c’est aussi à ça qu’on reconnaît un bon dirigeant. On peut par exemple engager un expert-comptable ou un directeur des affaires financières externe pour s’aider. Ainsi, votre banquier sera rassuré quant à votre capacité à comprendre et suivre vos comptes.
Il faut que votre banquier sache que vous maîtrisez la situation. Ce n’est pas toujours facile, d’autant plus qu’on demande aujourd’hui à un chef d’entreprise d’être un athlète complet, on veut qu’il sache tout faire, or ce n’est pas possible. Pour une grande majorité d’entre eux, les dirigeants de PME et de TPE sont des commerciaux ou des techniciens, ils n’ont pas une grande culture financière, ni de la gestion. En revanche, il est possible de bien s’entourer, et c’est aussi à ça qu’on reconnaît un bon dirigeant. On peut par exemple engager un expert-comptable ou un directeur des affaires financières externe pour s’aider. Ainsi, votre banquier sera rassuré quant à votre capacité à comprendre et suivre vos comptes.
SOURCE: http://www.lenouveleconomiste.fr/lesdossiers/cash-management-la-gestion-de-tresorerie-multi-leviers-29766/
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