mardi 31 mai 2016

25 conseils indispensables pour apprendre à s'occuper d'un bébé.

Quand on devient parent pour la première fois, c'est un peu la panique. Beaucoup de questions surviennent dans notre esprit: comment s'en occuper ? Et si je lui faisais mal ? Et s'il tombe ? 

Que de remises en question qui vous font douter sur vos capacités d'être parents, et on vous comprend. Ce n'est clairement pas une tâche aisée ! Pour répondre au désespoir des parents, les auteurs David et Kelly Snopp ont créé des illustrations aussi pédagogiques qu'hilarantes pour vous aider à bien vous occuper de votre enfant

Découvrez donc les choses à faire et à ne pas faire avec votre bébé. C'est loin d'être évident !

























Source: http://www.demotivateur.fr/article-buzz/25-choses-simples-mais-utiles-savoir-pour-ceux-qui-ne-sauraient-pas-comment-se-comporter-avec-leur-b-b-o--1934

Comment enlever la couche à mon enfant ?

Arrêter d'utiliser les couches n'est pas facile pour l'enfant. Comme marcher ou dormir, aller aux toilettes est un réflexe physiologique. Vous devez lui apprendre à contrôler sa vessie. Nous vous expliquons comment.


Chaque enfant apprend à maîtriser le pipi et le caca à son rythme. La différence d'un enfant à l’autre peut être plus grande que lorsqu’ils commencent à marcher. Alors que chaque enfant est distinct, on peut estimer qu'à environ deux ans, le contrôle des selles est généralement atteint. Entre deux ans et demi et trois ans, l'enfant apprend à maîtriser le pipi durant la journée. En revanche, la nuit, il peut avoir besoin de la couche jusqu’à trois ans ou au-delà.
Il est important d'avoir à l'esprit que l'abandon des couches ne doit pas être une décision imposée par les parents, mais une conquête personnelle de l'enfant. Cependant, il est vrai que vous pouvez l’encourager pour qu’il y parvienne.
Pour commencer, il n'y a pas d'âge idéal. Vous devez attendre que votre enfant ait la notion suffisante du temps pour faire la distinction entre «maintenant» et «après». Il pourra ainsi prévenir lorsqu’il veut aller aux toilettes. Une bonne méthode pour commencer le rituel d'aller aux toilettes est de lui demander directement s’il veut utiliser le pot. S'il refuse, il vaut mieux le laisser pour plus tard. Vous ne devez pas montrer d'intérêt excessif pour l'enlèvement de la couche.
Si votre enfant est prêt à renoncer aux couches mais continue de faire ses besoins sur lui, vous pouvez les utiliser pendant une certaine période. En fait, chaque enfant est différent et, alors que certains ne veulent pas passer au pot, d'autres ne veulent pas utiliser la couche, bien qu’ils ne contrôlent pas encore leur vessie. Dans ces cas là, vous devez consulter votre pédiatre.
Souvent, le désir d'imiter les adultes encourage les plus petits. Certains préfèrent utiliser le pot et d'autres, au contraire, choisissent directement les toilettes. Il peut aussi arriver que l'enfant fasse pipi sur le pot et continue de faire caca dans la couche, ou vice versa. Parfois, l'enfant qui a déjà appris à aller aux toilettes peut revenir en arrière, comme par exemple, mouiller son lit la nuit. Ne vous inquiétez pas car cela peut être dû à un changement: partir en vacances ou commencer à aller à la crèche.

SOURCE: http://www.bebesetmamans.com/enfants/sante-et-bien-etre/psychologie-de-l-enfant/1008-comment-enlever-la-couche-a-mon-enfant

L'ÉTÉ, UN BON TEMPS POUR ENLEVER LA COUCHE!

PAS UN ENFANT N’EST PRÊT AU MÊME MOMENT POUR DEVENIR PROPRE. N’EMPÊCHE QUE L’ÉTÉ EST UN BON MOMENT POUR FAIRE DES ESSAIS! 1, 2, 3 GO! ON TENTE LE COUP?
Laisser un enfant sans couche est souvent un bon moyen pour lui faire prendre conscience du fonctionnement de son corps! Mais la perspective de « ramasser » des dégâts un peu partout dans la maison n’enchante personne. L’été convient donc mieux pour les premières tentatives vers la propreté. Beaucoup de mamans essaient de laisser leur enfant sans couche quand il fait beau et que les jeux se font à l’extérieur. Le linge sèche vite au soleil et puis un pipi sur le gazon, ce n’est pas bien grave, etc. Ainsi, les dégâts nous apparaissent moins « graves » que dans le stress de notre routine habituelle.
Toutefois, si l’été est considéré par plusieurs comme une saison idéale, il ne faut pas que l’entreprise soit qu’une initiative de notre part. Été ou pas, c’est l’enfant qui « décide » s’il est prêt ou non. Peu importe la saison, il faut être patient, suivre le rythme de notre enfant, ne pas s’énerver ni trop insister. Et pour rester zen devant les tentatives échouées ou les « Trop tard! C’est déjà fait! », mieux vaut accepter qu’il y aura plusieurs ratés avant la grande réussite. Rechercher l’efficacité et le succès à tout prix, c’est prendre le mauvais chemin. La pression entrave le processus! Moins le tout-petit ressent de pression, mieux il s’en portera. Cette ambiance détendue favoriserait même l’apprentissage en douceur.
Cependant, il se peut que ce soit durant l’été que nous et nos enfants soyons les plus détendus et les moins stressés pour amorcer l’initiation à la propreté dans le calme. Si c’est dans cette perspective que l’on aborde la propreté en été, tous les espoirs sont permis!
ENVIE… DE GRANDIR!
Devenir propre, c’est devenir grand! L’enfant doit avoir atteint une certaine maturité autant musculaire que neurophysiologique. Un repère facile? Il est capable de monter et de descendre seul un escalier. Ce que cela démontre? Il est capable d’utiliser ses muscles pour maîtriser ses sphincters. Certains spécialistes croient même que décider de devenir propre, pour un enfant, c’est décider de devenir grand et de renoncer à des soins que d’autres faisaient pour lui.
Le mettre en culotte durant le jour? On le fait si l’enfant le demande ou que l’on sent qu’il est prêt. Autrement, on pourrait compromettre l’évolution normale en le mettant devant un sentiment d’échec qui peut aussi le décourager et lui faire avoir le petit pot en aversion totale.
ON ESSAIE DOUCEMENT!
En général, il est bon de commencer par demander à l’enfant s’il veut aller sur le pot chaque fois que vous changez sa couche. On n’insiste pas davantage; on ne fait que suggérer doucement. Subtilement, presque!
  • On y va mollo avec nos allusions au petit pot! Quelques livres sur le sujet, c’est bien, mais on ne lit pas que des histoires sur ce sujet! Si les parents accordent trop d’importance ou insistent trop, il se peut qu’ils s’exposent à une ferme résistance. Même si le petit pot flambant neuf qu’on a acheté reste inutilisé un certain temps, on ne force pas notre enfant à s’y asseoir!
  • Nous sommes les alliés et les supporteurs de notre petit en quête d’autonomie, et non des dictateurs! On dédramatise les petits accidents de parcours et on félicite chaque petit progrès.
  • Pour les premiers essais, pas besoin d’investir immédiatement dans des couches d’entraînement (Pull-up et autres). On les réserve pour le moment où notre enfant ne veut absolument plus mettre de couches et qu’il n’est pas capable d’être propre toute la journée ou toute la nuit. On peut aussi opter pour des culottes d’entraînement lavable : un bon geste écolo et économique!
  • On prend des vacances du pot! Si on essaie depuis quelque temps et que les résultats tardent à venir, on prend une pause pour quelques semaines. Rien ne sert de s’entêter. De plus, le niveau de stress augmentera et contreviendra à tous les efforts. On peut sans problème remettre des couches à un enfant; ce n’est pas signe de démission ou d’une régression grave. C’est peut-être le signe qu’on a forcé la note et qu’il faut ralentir notre cadence.
  • Un dégât? Oui, et après? On nettoie calmement et jette le tout à la toilette. On demande à l’enfant s’il veut tirer la chasse, ainsi il sent qu’il vous aide et cela renforce aussi l’idée que la toilette est l’endroit où le dégât va! On ne le gronde pas et on reste indulgent. Ainsi, on ne mine pas son estime de soi et on l’encourage à poursuivre sa quête.
  • On ne dit pas « Fais un pipi pour maman » ou « Fais-moi plaisir ». Pas question de mettre une pression indue là où il ne devrait pas en avoir. C’est une acquisition d’autonomie, pas un concours d’amour et de reconnaissance.

  • QUELQUES REPÈRES
    Ce sont des repères, et non des points précis. Ne l’oubliez pas!
    • Vers 15 mois : Il est capable de prévenir si sa couche est mouillée.
    • Vers 18 mois : Il maîtrise suffisamment ses sphincters. On peut introduire le petit pot!
    • Entre 2 et 3 ans : La propreté de jour débute… avec essais-erreurs-rappels!
    • À partir de 3 ans : Il va à la toilette de lui-même quand il en ressent le besoin.
    • Jusqu’à 5-6 ans : De petits accidents peuvent encore survenir!


SOURCE: http://www.mamanpourlavie.com/bebe/13-36-mois/apprentissage-de-la-proprete/2764-l-ete-un-bon-temps-pour-enlever-la-couche.thtml?page=2

Aider bébé à développer son langage

Dès leur naissance, les bébés commencent à développer des habiletés qui les aideront à parler. Durant les 12 premiers mois, ils apprennent à communiquer et ils se pratiquent à faire des sons.

Comment l’aider à progresser?

Voici quelques conseils pour favoriser le développement des habiletés communicationnelles et langagières de votre enfant.

De la naissance à 6 mois

Les premières tentatives de communication des bébés avec leurs parents se produisent bien avant que les petits s’expriment verbalement. Ils prennent souvent la forme de cris, de mouvements du corps ou bien d’expressions faciales.
Vers 3 mois, les bébés commencent à produire des sons (gazouiller) de façon volontaire. Ils aiment regarderleurs parents dans les yeux, ils s’intéressent à leur environnement et ils réagissent à la voix de maman et papa en tournant la tête dans leur direction ou en arrêtant de pleurer.
Autour de 6 mois, les bébés commencent à babiller : ils font par exemple « dadada » et « mamama ». Bien vite ils imiteront des sons, puis des mots.

Ce que vous pouvez faire

  • Lorsque vous lui parlez, établissez un contact visuel et rapprochez-vous de lui pour qu’il puisse voir votre visage s’animer et vos lèvres bouger. Cela l’aidera à relier différents mouvements à différents sons.
  • Répondez en souriant et en démontrant de l’enthousiasme aux tentatives de communication de votre bébé afin qu’il apprenne à s’attendre à une réponse de votre part et qu’il ait envie de communiquer. Imitez ses sons aussi : il sera content!
  • Souriez, tirez la langue, ouvrez grand la bouche et observez comment votre bébé réagit. Cette communication entre vous deux prépare le terrain pour de futures conversations.
  • Parlez-lui durant les activités routinières journalières (par exemple, en changeant sa couche, en le nourrissant, en lui donnant le bain, etc.). Plus il entendra de mots, plus il pourra éventuellement en comprendre, puis en dire.
  • Utilisez un langage adapté lorsque vous lui parlez. Articulez clairement les mots, haussez le ton de votre voix et exagérez vos intonations. Des recherches montrent que les petits aiment écouter un tel langage et que cela les aide à apprendre à parler. Ne parlez toutefois pas en « bébé »; par exemple ne dites pas « kiki » pour « biscuit ». Votre enfant doit apprendre les vrais mots.
  • De 6 mois à 1 an

Même si de 6 mois à 1 an les bébés ne parlent pas encore, ils communiquent beaucoup. Par exemple, ils sourient et rient lorsqu’ils nous regardent, ils tendent les bras pour se faire prendre et ils montrent un objet pour le demander ou pour démontrer leur intérêt. Les bébés diversifient aussi les sons qu’ils font; ils produisent généralement les sons « p », « b », « m » et « t », « d », « n ».
Vers 8 mois, les bébés reconnaissent certains mots communs (y compris leur nom) même s’ils ne sont pas capables de les dire. C’est vers 1 an que les enfants commencent à dire des mots, comme « maman », « papa », « non » ou « lait ».

Ce que vous pouvez faire

  • Utilisez les sons que produit l’enfant pour former des mots qui ont du sens, tels que « maman » ou « papa ». En agissant ainsi, vous l’amenez à comprendre que les sons forment des mots dotés de sens.
  • Nommez souvent les objets qui attirent son attention afin d’enrichir le vocabulaire qu’il comprend déjà. Décrivez aussi vos actions ou les siennes en disant, par exemple, « On mange! », lorsque votre bébé ou vous faites cette action.
  • Votre bébé connaît-il son nom? Prononcez à voix haute quelques noms et quelques prénoms (y compris le sien) sans être devant lui, et regardez s’il tourne la tête dans votre direction au son de son prénom. Appelez souvent votre bébé par son prénom.
  • Lorsque vous montrez quelque chose du doigt, votre bébé regarde-t-il votre doigt ou suit-il celui-ci pour voir ce que vous lui montrez? S’il commence à regarder ce que vous lui indiquez du doigt, cela signifie qu’il a appris que votre geste est une façon de communiquer avec lui. Montrez souvent des objets ou des personnes qui intéressent votre enfant.
Source: http://naitreetgrandir.com/fr/etape/0_12_mois/jeux/fiche.aspx?doc=ik-naitre-grandir-aider-bebe-developper-langage